La vie de Louise Bennett n'avait pas été un long fleuve tranquille, contrairement à ce que l'on aurait ou croire en la croisant à Sydney, dans son agence de voyage. Une jeune femme dirigeant sln agence, léguée par son beau-père, mère d'un bel adolescent, mariée à un homme d'affaire à l'activité florissante, ils avaient une vie plutôt dorée. Mais était-elle heureuse ? Par amour, elle s'était toujours sacrifiée. Par amour pour Hank, elle avait sacrifié sames ambitions de carrière, elle avait accepté de quitter ses études pour voyager, puis de s'installer dans un autre pays que le sien, et finalement d'avoir un enfant. Et pour cet enfant, elle avait encore une fois sacrifié son bonheur, restant avec son mari avec qui elle n'était plus heureuse. Mais Jordan avait besoin que sa mère soit attentive et présente pour lui, étant donné sa scolarité et ses fréquentations. En faisant la rétrospective, l'agent de voyage n'aurait jamais imaginé sa vie ainsi. Elle aurait dû être un grand neurochirurgien et rester à Boston, ou éventuellement New York au besoin.
Et à présent, tout avait basculé. D'abord avec le crash de cet avion, ce voyage qu'elle avait elle-même organisé. D'ailleurs, les premiers jours, elle avait énormément culpabilisé, car elle avait aussi vendu pas mal de billets aux passagers présents,se donnant cette horrible impression d'avoir condamné tous ses clients, en plus de sa propre famille. Et second basculement brutal dans sa vie, la disparition de Jordan. Louise aurait pu sombrer totalement, mais elle s'accrochait à l'espoir de retrouver son fils. Il était tout ce qui lui restait, et elle l'aimait plus que tout, il était hors de question d'abandonner. Mais les échecs successif depuis ces trois semaines commencèrent à avoir raison de son moral. L'éventualité que Jordan soit décédé était de plus en plus plausible mais la mère de famille se refusait à y adhérer.
Elle avait trouvé en Ben un soutien qui lui faisait énormément de bien. Pourtant, au départ tout les opposait et leur rencontre hasardeuse de la veille n'aurait jamais auguré une telle entente, mais peu à peu, l'un et l'autre avaient fendu l'armure, laissant voir leurs failles, leur fragilité, et pour une raison qu'elle ne s'expliquait pas, elle lui faisait confiance. Il avait montré qu'il en était digne, il était intègre et entier. Lou appréciait ce genre de personne.
À cet instant, elle était dans ses bras, laissant exploser ses émotions dans des larmes tandis que Ben essayait tant bien que mal de la réconforter. Sans doute ne s'imaginait-il pas tout le bien que ses paroles et sa présence faisaient à Louise. Elle se sentait plus que jamais soutenue et cela la rendait plus émotive encore. Depuis quand quelqu'un n'avait-il pas été aussi attentif et aidant avec elle ? Alors qu'il l'avait finalement interpellée, elle plongea son regard assombri par les larmes dans l'azur des prunelles de Ben, avant qu'il ne rompe la distance pour sceller ses lèvres aux siennes. Ce contact plein de douceur la surprit, et elle se surprit davantage en lui rendant son baiser. Était-ce la fatigue, le cadre idyllique, la pénombre qui gagnait les environs, l'émotion, Louise n'en savait rien mais elle se sentait hors du temps et de la réalité. Advienne que pourra, elle ne se posait plus de question, profitant juste de l'instant, un instant pour elle, pour une fois.
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Dernière édition par Louise Bennett le 03.06.23 16:46, édité 1 fois
Ben Levy
• Age personnage : 47 ans printemps
• Orientation sexuelle : Hétéro
• Situation matrimoniale : En face d'apprentissage
• Profession avant le crash : agent de terrain (pour le Mossad)
• Loisirs et passions : Le tir, la moto
• Feat. : Sean Maguire
• Points de survie : 3358
• Triggers : des bruits assourdissants, des souvenirs particuliers
• Warning : violence, meurtre, traumatismes, guerre
C’était comme une mélodie qui résonnait dans sa tête, envoûtante et enchanteresse. Chaque note était exquise, délicate, et elle l’enveloppait d’une paix profonde, le plongeant dans un état de rêverie où il se perdait volontiers, incapable de rassembler ses pensées. La fatigue, complice dans de telles circonstances, lui offrait un prétexte pour justifier cette fragilité nouvelle, comme si elle atténuait la solidité de sa carapace habituelle. Mais peu importait, car à cet instant précis, il était là, plus proche de Louise qu’il ne l’avait jamais été, la serrant contre lui.
Ce contact n’avait rien de bizarre, malgré leur connaissance récente. Le crash, bien que dramatique, offrait aux survivants une perspective différente, capable d’amplifier chaque aspect de la vie. Les émotions se développaient à une vitesse fulgurante, dépassant les limites imposées par la norme. Tout semblait se dérouler à une vitesse vertigineuse, sans que quiconque s’en offusque, sans crainte de brûler les étapes traditionnelles. La menace de la mort, omniprésente, conférait une intensité encore plus grande à cette fureur de vivre qui les animait.
Dans ce cadre presque paradisiaque, Ben ressentait une connexion profonde avec Louise. Il pouvait sentir chaque battement de son cœur, ressentir la chaleur de son souffle contre sa peau. Leurs regards se rencontraient souvent, empreints d’une compréhension silencieuse qui dépassait les mots. Dans ces moments précieux, ils se rapprochaient encore plus, trouvant un réconfort mutuel dans l’incertitude de leur situation.
Les souvenirs partagés de leur survie commune se mêlaient à cette étrange sensation d’urgence. Chaque instant semblait le dernier, chaque geste. Alors, après avoir croisé le regard embrumé de larmes de son charmant binôme, incapable de prononcer le moindre mot, Ben se sentit submergé par une vague d’émotions indescriptibles. Les battements de son cœur s’accélérèrent, tandis que son souffle devenait erratique.
Dans un geste audacieux et presque instinctif, Ben inclina doucement la tête et déposa ses lèvres sur celles de Louise, espérant trouver un peu de réconfort et de connexion dans ce baiser. À sa grande surprise, la jeune femme ne sembla pas le rejeter. Au contraire, elle répondit avec une intensité surprenante, incitant le militaire à laisser ses mains glisser sur ses hanches, perdant peu à peu le contrôle de ses sens.
Dans cet échange passionné, leurs corps dénudés rappelaient l’urgence de leur situation. Leurs peaux se frôlaient, brûlantes d’un désir naissant, sans crainte ni retenue. Les vêtements, abandonnés avant leur plongée dans les profondeurs de l’inconnu, ne semblaient qu’un lointain souvenir. Leurs souffles se mêlaient, entremêlant leurs soucis et leurs espoirs dans un échange silencieux. Ils étaient deux âmes en quête de réconfort, cherchant à transcender la tragédie qui les avait réunis. Dans cet instant de passion fiévreuse, ils trouvaient un refuge, un instant d’oubli dans le tourbillon de l’incertitude.
Leurs corps se mouvaient en harmonie, portés par un mélange de désir et de vulnérabilité. Chaque caresse était une promesse de réconfort, chaque baiser un témoignage de confiance mutuelle. Ils se découvraient l’un l’autre, corps et âme, dans une intimité profonde et puissante avant que la passion ne les emporte. Cependant, alors que le désir s’intensifiait, Ben sentit l’urgence de retrouver la clarté de l’esprit.
Dans un élan de volonté, Ben interrompit doucement leur étreinte et incita Louise à sortir de l’eau. Ils se trouvèrent sur la rive, les cheveux mouillés et les souffles entrecoupés. Les regards s’entremêlèrent, exprimant à la fois la continuité du désir et la nécessité de reprendre leurs esprits.
Ben posa doucement sa main sur la joue de Louise, la caressant avec tendresse. Dans ses yeux, on pouvait lire une lueur de retenue mêlée d’affection. Il savait que ce moment était important, qu’il définirait la trajectoire de leur relation naissante. Un silence emplit l’air, chargé d’une tension électrique. Les battements de leur cœur résonnaient en harmonie, les invitant à se laisser emporter par le tourbillon de la passion.
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Louise Bennett
• Mutli-comptes : Kaya Hiroana
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• Age personnage : 42
• Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
• Situation matrimoniale : Visiblement veuve
• Profession avant le crash : Gérante d'une agence de voyage
La vie était étrange et savait mettre sur le chemin des gens, ce dont ils avaient besoin. C'était du moins ce que certains se plaisaient à dire, rien n'arrive sans rien. Cependant, Louise n'était pas tellement versée spiritualité, elle était terre à terre. La scientifique en elle, sûrement.
En cet instant, dans les bras de Ben Levy, elle oubliait son présent. Cet homme avait su, en l'espace de vingt-quatre heures, se montrer présent pour elle, digne de confiance, apaisant et protecteur. Au final, tout ce dont elle avait besoin malgré que sa fierté ne la laisse pas encore le reconnaître. Il faut dire que dans mes conditions que les survivants du crash vivaient, tout allait vite, les liens se tissaient de façon différente de la vraie vie. En temps normal, même si elle n'avait pas été mariée, Louise n'aurait pas été aussi facilement nue devant un homme, même dans l'eau sauvage de ce lac. D'ailleurs, elle ne lui aurait sans doute pas accordé une telle confiance en seulement quelques heures de présence. Mais après un crash d'avion et six mois de vie sur une île déserte dans conditions hostiles, dangereuses, meurtrières.
Ils étaient donc là, tous les deux, peau contre peau, les bras de Louise autour du cou de Ben pour rester à flot, le reste de son corps nu contre le sien. Ce baiser qu'ils échangeaient était une sorte de bouffée d'oxygène, une fenêtre ouverte sur un paysage plus serein que le quotidien qui était leur depuis plusieurs semaines. Un peu de beauté dans les tourments que la vie leur infligeait. Cette douce étreinte, qui se muait peu à peu en passion, se savourait et générait chez Louise des frissons et un désir qu'elle n'avait plus ressentis depuis longtemps.
Lentement, sans pour autant se quitter, ils avaient migré vers le bord. Louise avait senti finalement le sol sois ses pieds et Ben l'entraînait vers le rivage. Ils quittèrent l'eau, ruisselants, échangeant un regard avant que leurs bouches ne se retrouvent encore une fois. Le contact de l'air sur sa peau fit naître un nouveau frisson et de la chair de poule sur l'épiderme de la belle brune. La paroi aux pierres encore chaudes de la journée aux températures tropicales accueillit le dos de Ben tandis que Louise l'embrassait avec fougue, perdant le contrôle complètement. Elle n'était plus elle-même, guidée par une passion qu'elle avait trop longtemps oubliée. Elle s'était elle-même oubliée. Son souffle chaud se perdait dans le cou de l'ancien militaire le temps de reprendre une bouffée d'air et repartir à l'assaut de ses lèvres tandis que ses mains parcourait fébrilement son corps divinement sculpté sans doute par des années de service. Le désir se faisait plus grand à mesure que les battements de son cœur accéléraient la cadence. Malgré la pénombre ambiante suite au coucher du soleil et l'air qui s'était rafraîchi, la température de ces deux corps ne faisait qu'augmenter.
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Dernière édition par Louise Bennett le 12.06.23 13:26, édité 1 fois
Ben Levy
• Age personnage : 47 ans printemps
• Orientation sexuelle : Hétéro
• Situation matrimoniale : En face d'apprentissage
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• Loisirs et passions : Le tir, la moto
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Sous la caresse douce de ses doigts, Ben ressentit un frisson parcourir la peau de Louise. Il savait qu’il devait trouver les mots justes pour exprimer les émotions bouillonnantes qui l’envahissaient, des mots capables de transcender cet instant magique. Le silence enveloppa à nouveau leur échange, chargé d’une attente presque palpable. Ben éprouva un mélange d’excitation et d’appréhension. Que se passerait-il à présent ? Malgré tout, l’ancien militaire réussit à maintenir son regard fixé sur cette magnifique demoiselle. Il se sentait plus vulnérable que jamais, mais n’en faisait pas cas.
La nuit était tombée, enveloppant le couple d’un voile de mystère à l’intérieur de cette grotte tout aussi mystérieuse. De leur position audacieuse, ils pouvaient contempler les étoiles parsemant le ciel noir, illuminant légèrement leur étreinte passionnée. Leur énergie électrisante semblait se fondre avec la brise marine caressant leur peau, créant une symphonie sensuelle. Leurs baisers étaient empreints d’une intensité brûlante, leurs langues s’entrelaçant dans une danse ardente. Les mains de Ben, avides de découvertes, parcouraient chaque centimètre du corps divin de Louise, faisant naître en elle un désir frémissant. Les murmures de plaisir se mêlaient au ruissellement de l’eau, donnant naissance à une symphonie de passion et de liberté.
Le contraste saisissant entre la chaleur réconfortante de la paroi de pierre et les gouttes d’eau ruisselant le long de son corps fit frissonner Ben d’un plaisir presque aussi intense que le contact passionné des lèvres de Louise contre les siennes. Leurs corps nus se fondirent l’un dans l’autre, créant une étreinte délicieusement enivrante. Un tourbillon d’émotions et de désirs les emporta, les poussant à se perdre dans cette passion brûlante.
Les lèvres de Louise étaient à la fois douces et avides, déclenchant une frénésie de désir chez Ben. La fusion de leurs bouches était un mélange de passion et de dévorations, un besoin irrépressible de se rapprocher davantage. Leurs langues dansaient avec une intensité sauvage, explorant chaque recoin de leur cavité buccale.
Ben se laissait emporter par cette communion charnelle, chaque baiser échangeant une part de leur essence. Les dents de Louise mordillèrent sa lèvre inférieure avec une pointe de provocation, ajoutant une sensation piquante à leur échange. Un frisson d’excitation parcourut tout son être, amplifiant le feu qui brûlait en lui.
Dans cet instant éphémère, toutes les questions et les doutes s’évaporèrent. Il se laissa totalement submerger par le moment présent, abandonnant tout souci et se concentrant uniquement sur l’union torride de leurs corps et de leurs âmes. Rien d’autre n’importait, seule l’intensité de leur étreinte les enveloppait.
La virilité de Ben semblait atteindre son paroxysme, son être tout entier animé par une énergie brute et puissante. Un désir insatiable brûlait en lui, une passion débordante qui réveillait chaque fibre de son corps. Cependant, plutôt que de se laisser emporter par ses pulsions les plus primaires, il cherchait à canaliser cette énergie dans un élan de douceur et de sensualité. Sa main, autrefois pleine de fougue, glissa doucement sur la peau de Louise, caressant chaque centimètre avec délicatesse. Puis, sa bouche se posa sur la poitrine de son amante, embrassant ses seins avec une envie brûlante avant de saisir son mamelon pétri du désir et d’y dessiner un cercle invisible du bout de sa langue.
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Louise Bennett
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Cet échange rempli de douceur et d'écoute faisait un bien fou à Louise, tout comme se sentir soutenue et désirée. Les bras de Ben étaient devenus ce soir-là un roc solide sur lequel se reposer. Chacun des baisers échangé était unique et lui procurait des sensations longtemps recluses qu'il était bon de re-découvrir. Chaque contact se faisait de plus en plus brûlant, le désir s'attisait autant que leurs peaux s'embrasaient au rythme des effleurements qui étaient de plus en plus des caresses. Les lèvres de Ben dans son cou faisaient frissonner Louise tout comme ses mains audacieuses qui parcouraient son corps. Le souffle de la brune quant à lui se faisait plus haletant entre deux baisers ou mordillements, tandis que l'Israëlo-américain insufflait en lui une vague de frissons. Elle pouvait sentir à son intimité qu'il la désirait autant qu'elle. Lou se retrouva à son tour contre la paroi chaude, tandis que les gouttelettes s'échappant des éclaboussures de la chute d'eau se posaient sur eux, apportant un peu de fraîcheur à ce torride échange. La bouche de Ben sur son sein attisa d'autant plus ses sensation, lui laissant échapper un gémissement qui se perdit dans le bruit de la cascade. Elle remonta lentement sa jambe gauche le long de la cuisse de l'ancien militaire pour venir s'accrocher à sa hanche.
Son cœur battait la chamade tant l'excitation était grande. Son bassin vint se coller au sien, laissant leurs intimités se caresser sensuellement, attisant davantage le feu de cette attraction inébranlable qui était née entre ces deux êtres. Le regard de Louise vint s'ancrer dans celui de Ben dont elle avait pris le visage dans ses mains brûlante, lui donnant ainsi l'accord tacite d'aller plus loin avant de capturer ses lèvres de nouveau pour un baiser plus brûlant que jamais. En cet instant, elle voulait être à lui et qu'il soit à elle, qu'il possède son corps et lui fasse vivre une réalité autre que celle, trop terne, qui les attendrait le lendemain. Pouvoir s'évader l'espace d'un instant de ces angoisses trop pesantes qu'elle subissait bien malgré elle, la terreur qui accaparait tout son être depuis la disparition de son fils unique. C'était devenu invivable, intolérable, inacceptable, et maintenant, son mental avait besoin d'une pause. Ben était incontestablement en mesure de lui offrir cela, et peut-être que lui aussi en avait besoin, au vu de son passif qui oui était sans cesse rappelé par le biais des diverses situations, et même celle que Louise traversait, d'ailleurs. Oublier, oublier tout cela pour quelques instants, quelques heures, était-ce possible ? En avaient-ils le droit ?
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Leur désir s’épanouissait avec intensité, transformant Ben et Louise en marionnettes entre les mains du plaisir. Dans cet échange enfiévré de caresses buccales, ils succombaient sans réserve à l’appel envoûtant de leurs sens, se perdant dans les délices de la passion dévorante.
Même si la fatigue s’immisçait dans les veines de Ben, elle ne parvenait pas à étouffer son ardeur. Son désir s’intensifiait encore davantage, alimenté par une curiosité insatiable, l’invitant à explorer chaque centimètre de ce corps inconnu qui l’attirait irrésistiblement. Une énergie nouvelle l’animait, le propulsant vers des horizons sensuels, où la découverte de l’autre devenait une aventure exaltante et enivrante.
Cependant, une petite voix de doute persistait en lui, agitant les méandres de sa conscience. Était-ce le bon moment pour céder aux ardeurs du désir ? Louise, après tout, était plongée dans un état de vulnérabilité incontestable, hantée par la disparition inexplicable de son fils bien-aimé. La culpabilité s’insinuait, interrogeant la moralité de ses actes, mais il repoussa ces pensées équivoques lorsqu’il sentit la chaleur du corps de la jeune quadragénaire contre le sien.
Les mains de Ben devinrent plus aventureuses, explorant avec audace le corps de Louise, à la recherche de chaque parcelle de plaisir. Elles glissèrent sur sa peau, caressant chaque courbe et chaque creux avec une délicatesse dévorante. Pendant ce temps, sa bouche s’était établie avec une voracité presque sauvage sur le sein gauche de Louise, où ses lèvres et sa langue se mirent à jouer une symphonie érotique.
Sa langue dessinait des cercles invisibles autour du téton, qui s’était durci sous l’effet du désir. Chaque mouvement créait des frissons électriques qui parcouraient tout le corps de Louise, amplifiant son excitation. Un premier gémissement de plaisir s’échappa de ses lèvres, incitant Ben à prolonger et intensifier ses caresses.
Mais à cet instant, leurs regards se croisèrent à nouveau, et Ben se perdit dans les prunelles sucrées de Louise. Il y lut une lueur de confiance et de désir mutuel, comprenant instinctivement qu’elle était prête à abandonner les dernières barrières qui les séparaient. Leurs bouches s’unirent à nouveau dans un baiser passionné, empli d’une excitation débordante. L’intensité montait à son paroxysme, et ils se laissèrent emporter par une frénésie sensuelle. Les griffures et les mordillements, signes d’une passion déchaînée, ponctuaient leur échange ardent. Chaque caresse, chaque contact était empreint d’une férocité douce-amère, un mélange enivrant de douleur et de plaisir.
Dans un geste délibéré, Ben mouilla deux de ses doigts, les préparant ainsi à pénétrer cette forteresse qui n’était plus aussi impénétrable qu’auparavant. Avec précaution, il les introduisit en elle, explorant son intimité avec une attention dévouée. Ses mouvements étaient doux et rythmés. Et lorsqu’enfin il sentit le précieux nectar s’écouler de la fente qui se présentait à lui, l’ancien militaire prit son membre durci en main pour la pénétrer avec douceur, savourant chaque centimètre de leur union naissante.
Leurs regards se croisèrent à nouveau alors qu’ils étaient face à face, avec Louise adossée contre la paroi rocheuse. Ben s’enfonça un peu plus en elle à chaque mouvement, approfondissant leur union charnelle. Le premier gémissement de plaisir qui s’échappa de ses lèvres incita Ben à continuer, à chercher encore plus de passion et de satisfaction.
Il s’approcha de la bouche de Louise, captivant son souffle et son anticipation. Leurs lèvres s’effleurèrent presque, provoquant une tension électrique entre eux. Puis, avec un mouvement calculé, il se déroba au dernier moment. Ben reprit ses mouvements de pénétration avec une intensité accrue, cherchant à la combler pleinement. Chaque va-et-vient était empreint d’une fusion profonde, d’un désir fougueux qui les emportait dans un tourbillon de plaisir enivrant. Dans un geste audacieux, il captura du bout de ses dents la lèvre inférieure de Louise. Sentir son bassin, claquer contre le sien faisait monter une fiévreuse excitation qui l’incita à lui faire changer de position et ainsi ouvrir un tout autre orifice à pénétrer.
Puis il posa ses mains sur ses fesses qu’il semblait tâter avidement, Ben se décida ensuite à faire entrer son membre vigoureux progressivement avant de rapidement opter pour une cadence si effrénée, que le claquement de son bassin contre les fesses de Louise, résonnait à présent dans toute la grotte. Excité comme jamais, Ben se pencha vers Louise, parcourant de façon sensuelle sa peau avec le bout de sa langue. Il traça une ligne invisible le long de son dos jusqu’à atteindre sa chute de reins, tandis qu’il continuait à maintenir un rythme passionné de vas et-viens.
Presque essoufflé, Ben interrompit brièvement leurs ébats pour s’enquérir de son état. Sa voix, chargée de désir et de souci, s’échappa de ses lèvres entre deux respirations haletantes. « — Ça va ? » demanda-t-il, cherchant à s’assurer que Louise se sentait bien, conscient de l’intensité de leurs ébats et de l’importance de sa satisfaction. Son souffle chaud caressait sa peau. Rien d’autre ne comptait à cet instant, seulement leur plaisir mutuel, leur quête d’extase et d’abandon total.
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C'était comne être soudain plongée dans une autre dimension, dans une autre réalité ou plus rien de négatif n'existait, seul le désir subsistait, ce désir brûlant qui eut été inavouable ailleurs, mais qui était un présent réel et concret en cette soirée, sur cette île hostile qui constituait depuis le crash leur habitat à tous. Louise vibrait sous les caresses de Ben, son corps chaud contre le sien, son souffle brûlant dans son cou, sur sa poitrine, ses mains qui parcouraient ses courbes, tout l'ennivrait. Il en résultat finalement une union de ces deux corps tant attendus, lui faisant pousser un gémissement dans un souffle chaud avant de capturer de nouveau les lèvres de l'ancien agent du Mossad. Elle resserra ses jambes autour de la taille de l'israëlo-américain qui la plaquait contre la paroi réchauffée par une journée ensoleillée aux températures tropicales. Les mouvements qu'il exerçait procuraient mille et une sensations à la belle brune qui avait l'impression de perdre la tête. Ses mains s'agrippaient à ce dos tout en muscles, laissant quelques traces au passage. Plus rien n'avait d'importance que ce moment qu'ils partageaient, qui leur appartenait, rien qu'à eux. Ben savait se faire doux, mais aussi provocateur, attisant davantage les sens de Louise alors qu'il s'était dérobé à son baiser. D'abord légèrement frustrée, elle sourit avant qu'il n'agrippe sa lèvre du bout des dents, continuant d'oeuvrer plus bas avec habileté. Louise captura de nouveau sa bouche dans un baiser fiévreux, les bras autour de son cou. Puis, ils se retrouvèrent au sol, Ben dans le dos de Louise agenouillée et en appui sur ses paumes. Changement de positions et de sensation. L'ancien militaire se fit plus bestial encore, laissant le coeur de Louise battre de façon effrenée au rythme des coup de rein qu'il donnait. Elle sentit sa bouche parcourir sa peau, et elle se redressa pour que son dos soit contre le buste de Ben. Elle posa sa main sur sa joue alors qu'elle sentait son souffle chaud dans sa nuque, avant qu'il ne s'enquiert de comment elle allait.
- Ça va, répondit-elle dans un souffle.
Elle se retourna, rompant le contact, pour venir s'installer à califourchon sur lui.
- Tu me fais perdre la tête, souffla-t-elle avant de l'embrasser de nouveau avec une passion débordantre.
Aussitôt, elle reprit le membre durci de Ben pour l'insérer en elle à nouveau, reprenant par la suite des mouvements de bassin, d'abord lents, puis de plus en plus prononcé, apposant une main sur son torse en sueur pour le faire se rallonger. Ils avaient progressivement regagné l'intérieur de la grotte où la pénombre régnait en maître, et où seul le bruit de la chute d'eau rappelait la nature du lieu. Le manque de visibilité permettait aux autres sens de prendre le dessus. Finalement, une vague de plaisir intense ne tarda pas à envahir Louise tout entière, son corps soumis à une chaleur et de délicieux picotements par milliers, tandis qu'elle resserrait ses mains autour des épaules de son amant dans un cri un peu plus fort que les précédents. Ses mouvements avaient ralenti la cadence alors qu'elle était submergée par ces sensations trop longtemps oubliées, laissant ainsi à Ben le contrôle total de son corps.
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Un long laps de temps s’était écoulé depuis que Ben Levy avait succombé au tumulte du désir. Malgré la fatigue qui le tourmentait depuis plusieurs heures, il refusait de se montrer raisonnable, tout en luttant contre une envie irrésistible de connaître Louise dans toutes ses dimensions. Depuis que leurs regards s’étaient véritablement croisés, elle l’avait fasciné. Une connexion semblait s’être établie entre ces deux âmes tourmentées, chacune portant son propre désespoir.
Son corps vibrait d’une impatience tactile, s’accordant à merveille aux courbes exquises de cette femme, mère de famille. Bien qu’au départ, l’ancien agent du Mossad avait fait preuve de retenue et de délicatesse, il était désormais incapable de refréner ses pulsions et prenait plaisir à observer Louise de dos, caressant tendrement son dos avant que sa langue ne prenne le relais. Une chaleur intense montait en lui, menaçant de s’emparer de son être tout entier. Mais plus encore, il ressentait la fermeté de son membre en érection, s’immergeant fiévreusement en Louise.
Le premier gémissement, si délicat, caressa les oreilles de Ben telle une mélodie sensuelle qui éveilla tous ses sens. Ce doux son trouva écho en lui, faisant naître un désir brûlant, une pulsion irrépressible. L’écho du gémissement vibrait dans l’air, comme une note suave qui résonnait au plus profond de son être. Ce souffle de plaisir le submergea d’une excitation palpable, alimentant le feu qui crépitait déjà en lui. Il voulait réentendre ce gémissement, le faire résonner encore et encore, car chaque fois qu’il l’entendait, une vague d’extase électrisait tout son être, le poussant à intensifier ses efforts avec une passion exacerbée.
Les dents, les langues et les ongles s’entremêlaient dans une passion enivrante, faisant suinter des corps déjà humides. Ben se trouvait derrière Louise, offrant une vue magnifique sur son dos et sa chute de reins qu’il prenait plaisir à embrasser tendrement. Sa langue explorait de nouveau les délices défendus, goutant à l’interdit avec une ardeur contenue.
La jeune femme, enivrée, se redressa et se pressa contre le torse de son amant, lui gratifiant d’une caresse douce sur la joue. Entre deux mouvements rythmés de leurs hanches, Ben s’autorisa une petite digression, demandant comment allait la jeune femme, qui répondit brièvement, le souffle coupé.
Elle allait bien, et c’était là l’essentiel. Alors que Ben s’apprêtait à intensifier le rythme, la mère de famille se retourna pour se retrouver face à lui. Elle s’installa promptement à califourchon sur lui, amplifiant ainsi une excitation déjà vive. La simple vision de la lueur dans ses yeux et de sa volonté d’explorer de nouvelles sensations ne laissait pas l’ancien soldat indifférent. Une déclaration douce, accompagnée d’un baiser langoureux, scella leur échange alors que la demoiselle ondulait gracieusement son bassin au-dessus de son amant. Il pouvait déjà sentir son érection grandir, prête à être décochée telle une flèche tendue sur un arc.
« — Toi aussi », lui répondit-il enfin avant de sentir la main chaude de l’agente de voyage se saisir de son membre pétri de désir pour l’insérer en elle. Le simple fait de sentir l’une de ses mains agripper son sexe tira un léger gémissement de la part de Ben qui sentit presque aussitôt une chaleur humide l’envahir. Il pouvait la sentir, cette sève chaude qui émanait d’elle et il se languissait de pouvoir aller encore plus loin pour la faire couler davantage.
Dans cet instant, c’était Louise qui détenait le contrôle et elle en profita pour allonger Ben, qui se laissait ensorceler par la beauté brune de la scène et l’atmosphère magique qui les entourait, même si la lumière était tamisée. Ses autres sens s’éveillaient progressivement : le toucher des mains de Louise sur son torse et ses épaules, leurs corps humides et leur peau se mêlant délicieusement. Il percevait aussi les gémissements à peine maîtrisés de Louise, la sentant proche de l’orgasme. Il s’enivrait également de l’odeur de la peau humide et du soleil. Puis le gout de cette peau et la perspective de pouvoir peut-être gouter le précieux nectar. L’ancien militaire ne pouvait plus résister. Il voulait entendre les cris de plaisir de Louise et savait comment prendre le contrôle en se redressant et en l’allongeant sur le dos.
N’était-ce pas le moment ? Ben pouvait le sentir, la cadence de sa belle ralentissait peu à peu, signe qu’elle était toute proche d’atteindre l’orgasme. Ainsi, il reprit le contrôle et se positionna au-dessus d’elle. Doucement, il s’abaissa pour caresser chaque centimètre de sa peau nue de ses lèvres. Puis, avec délicatesse, il traça une ligne invisible avec sa langue, descendant vite vers le sud pour se perdre entre ses cuisses qu’elle sembla écarter presque immédiatement. Sans attendre, il posa sa bouche sur ses lèvres humides et frémissantes, savourant chaque goutte de ce qui s’en échappait, tandis qu’il prenait fermement son membre dressé, le caressant avec frénésie avant de le réinsérer en elle pour une dernière vague d’extase intense. Dans un état d’extase partagée, leurs voix fusionnèrent dans un cri de plaisir avant que Ben ne se retire avec précaution pour éviter tout accident.
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You brought light into my life ▬ and chased away all the darkness
Louise Bennett
• Mutli-comptes : Kaya Hiroana
• Selfie :
• Age personnage : 42
• Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
• Situation matrimoniale : Visiblement veuve
• Profession avant le crash : Gérante d'une agence de voyage
Depuis combien de temps Louise n’avait-elle pas ressenti une telle passion, vécu une telle fougue, un tel tourbillon d’émotions et de sensations ? Sans doute bien trop longtemps, et son corps en réclamait en ce moment toujours plus. Ben semblait lui aussi avide de ce contact électrisant qui avait lieu et tout ce qui déferlait entre eux. Tant de plaisir à offrir et à recevoir. Les positions s’étaient une nouvelle fois inversées et Louise chevauchait Ben, sentant un nouvel assaut de chaleur monter en elle, avant qu’il ne la déséquilibre pour reprendre le dessus. Un gémissement de frustration s’échappa de ses lèvres quand il se retira. Elle pencha sa tête en arrière en sentant la bouche chaude de son amant parcourir son corps. La sensation était douce et enivrante, procurant mille et un frissons électrisants, avant de sentir son corps s’embraser quand il descendit jusqu’à son mont de Venus. Cet homme était décidément plein de surprise et de savoir-faire. Le souffle de la jeune femme se faisait plus saccadé, et soudain elle sentit l’ancien soldat la pénétrer de nouveau, attisant de plus belle le plaisir qui n’avait de cesse de monter depuis le début. Il semblait alors qu’ils avaient atteint ensemble le septième ciel, les mains de Louise agrippée dans le dos de Ben.
Les corps avaient été soumis à une telle chaleur qu’à présent, l’air ambiant les rafraîchissait. Ils avaient gagné, dans leurs ébats, l’intérieur de la grotte dissimulée par la cascade, et ce vent de fraîcheur salvateur permit un repos bien mérité à l’abri de l’assommante chaleur moite de l’extérieur. Louise ne tarda pas à s’endormir, les émotions sens dessus-dessous.
Au petit matin, elle sentit son estomac gargouiller. La faim la réveilla. Elle ouvrit les yeux et observa quelques secondes Ben, nu comme un ver, endormi. Elle n’avait pas rêvé, c’était vraiment arrivé. Elle inspira, se mordillant la lèvre inférieure. Comment avait-elle pu ainsi se laisser aller ? Était-ce le moment de penser à elle, alors que Jordan était porté disparu ? Elle se sentit soudain honteuse de s’être permise cet aparté alors que son fils était en détresse. Sans un bruit, elle récupéra ses vêtements et sortit de la grotte. Elle déposa ses affaires sur une roche et entra dans l’eau pour un petit bain frais, histoire de se remettre les idées en place. Elle s’approcha de la chute d’eau pour boire quelques gorgées, puis nagea vers le bord, où elle s’assit. La chaleur matinale ne tarda pas à la sécher entièrement et elle put se rhabiller. Elle s’affaira alors à chercher quelques fruits pour constituer un rapide petit déjeuner avant que Ben et elle ne retournent sur le chemin pour retrouver leur campement sur la plage. La seule chose à retenir était qu’ils avaient fait chou blanc.
Louise était en train de revenir avec quelques bananes quand elle vit Ben sortir. Il n’avait pas été pris de cauchemars cette nuit-là, visiblement, et c’était tant mieux.
- Salut. Tu as faim ? demanda-t-elle en lui tendant la grappe de bananes.
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Je te cherche, pour toi j'irai partout.
There's a time that I remember, when I did not know no pain When I believed in forever, and everything would stay the same Now my heart feel like December when somebody say your name 'Cause I can't reach out to call you, but I know I will one day
Code by Laxy dunbar
Ben Levy
• Age personnage : 47 ans printemps
• Orientation sexuelle : Hétéro
• Situation matrimoniale : En face d'apprentissage
• Profession avant le crash : agent de terrain (pour le Mossad)
• Loisirs et passions : Le tir, la moto
• Feat. : Sean Maguire
• Points de survie : 3358
• Triggers : des bruits assourdissants, des souvenirs particuliers
• Warning : violence, meurtre, traumatismes, guerre
Les battements de son cœur s’accélérèrent à mesure qu’il l’observait chevaucher avec passion. Comment ne pas être envoûté par le mouvement gracieux de ses hanches ? Et que dire de son visage rayonnant de plaisir, qui éveillait en Ben des désirs ardents ? Mais il voulait plus encore. Il souhaitait ressentir chaque parcelle de son corps frémir sous ses caresses. Dans un geste déterminé, Ben prit l’initiative et renversa Louise, reprenant ainsi le contrôle de leur étreinte. Il savait exactement comment la toucher, comment l’embrasser pour l’enflammer de désir. Il se perdit dans l’échange de leurs baisers passionnés, explorant chaque centimètre de sa peau avec une attention dévorante.
Soudain, il ressentit la frustration de Louise lorsque leur étreinte fut interrompue. Mais il avait un autre plan en tête. Son désir pour elle était si intense qu’il ne pouvait se contenter d’une seule position. Il déposa des baisers brûlants le long de son corps, savourant chaque réaction de son amante, jusqu’à atteindre l’apogée de son intimité et s’y délecter avidement, capturant au passage quelques gémissements qui l’incitèrent rapidement à la pénétrer à nouveau.
Les mains de Louise s’accrochaient fermement au dos de Ben, ses ongles laissant de légères marques de leur union. Leurs respirations se mêlaient dans un rythme effréné, témoignant de l’extase qu’ils partageaient. Les éclairs de plaisir parcouraient chaque fibre de leur être, les transportant vers un ailleurs incertain, mais ô combien délicieux, avant que leurs corps ne se déversent dans une ultime explosion de jouissance.
Ben contempla le visage apaisé de Louise alors qu’elle s’endormait. Il caressa doucement ses cheveux, ressentant une profonde tendresse à son égard. Les émotions tumultueuses qui les avaient envahis peu de temps auparavant se dissipèrent, laissant place à un sentiment de quiétude.
Dans ce sanctuaire souterrain, Ben laissa ses pensées s’évader, bercé par l’obscurité apaisante de la grotte. Les souvenirs de leur étreinte passionnée étaient encore palpables, et il pouvait sentir la chaleur résiduelle de leurs corps. Cependant, la brise rafraîchissante, tel un baume réconfortant, venait effleurer sa peau luisante de sueur, amplifiant ainsi la sensation de bien-être. Les gouttes qui perlaient sur sa peau semblaient presque magiquement se transformer en minuscules perles de fraîcheur, provoquant un frisson délicieux sous l’effet caressant de la brise douce. Chaque respiration était emplie d’une quiétude céleste, apaisant ses muscles fatigués et instaurant un calme réparateur en lui. Il se laissait emporter par cette symphonie invisible de sensations, où l’association de l’obscurité enveloppante et de la brise bienfaisante créait un équilibre parfait, une évasion précieuse du monde extérieur, de cette île où ils attendaient depuis des mois qu’on vienne les sauver.
Une brise légère vint à nouveau caresser son visage. Combien de temps s’était écoulé depuis qu’il avait fermé les yeux ? À en juger par la luminosité éclatante à l’extérieur de la grotte, il était maintenant en plein jour depuis un certain temps. Par réflexe, le militaire chercha Louise du regard et fut surpris de constater son absence. Il se massa le visage et cligna des paupières à plusieurs reprises pour s’habituer à nouveau à la lumière du jour. Puis il décida de se plonger dans l’eau pour achever de se réveiller et se débarrasser de la sueur qui continuait à perler le long de son dos et sur son front.
Puis il attendit quelques minutes, toujours en proie à des interrogations et fasciné par le souvenir de la nuit passée. Jamais il n’avait connu une passion aussi intense, comme en témoignaient les marques encore présentes dans son dos. Cependant, il était surpris que Louise ait disparu ainsi, sans même l’attendre. Cherchait-elle à fuir ? Était-elle envahie à nouveau par la culpabilité ? Il devait en avoir le cœur net et pour se faire, il devait la retrouver, en priant pour qu’elle n’ait pas déjà cherché à rejoindre le camp où se trouvaient la plupart des survivants.
Presque sec sous l’effet de la chaleur intense, Ben se traîna hors de la grotte. À l’extérieur, la chaleur était suffocante, au point qu’il regrettait d’avoir quitté si précipitamment cette charmante grotte. Il n’eut pas à aller bien loin pour retrouver son binôme, qui semblait ne pas avoir chômé, à en juger par les quelques bananes qui se trouvaient près d’elle.
« — Salut ! » répondit l’ancien agent du Mossad en cherchant à évaluer la situation pour savoir comment se comporter. « — Merci ! » lâcha-t-il lorsqu’elle lui tendit une banane, qu’il saisit aussitôt. « — J’ai vraiment faim, surtout après ce qui s’est passé hier. » Au moins, il allait droit au but en mettant les pieds dans le plat.
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Louise Bennett
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• Profession avant le crash : Gérante d'une agence de voyage
Les ébats de la veille avaient été torrides, Louise n'en avait plus l'habitude, et si quelque part son corps en avait eu besoin, son mental lui faisait maintenant la réflexion qu'elle n'aurait pas dû. Surtout qu'elle y avait pris du plaisir, et c'était là l'objet de sa culpabilité. Si Jordan n'avait pas été porté disparu depuis des semaines, elle n'aurait probablement pas eu de regrets, mais les circonstances faisaient qu elle se sentait égoïste à présent. Il lui fallait se reprendre. Son fils était sa priorité. Pas le temps pour le reste.
Louise avait récupéré quelques bananes pour constituer un déjeuner suffisamment costaud piir tenir jusqu'au campement sur la plage, en plus noix de coco de la veille.
Ben venait de faire son apparition de sortant de la grotte dissimulée derrière la cascade. L'ancienne agente de voyage sentit son coeur se serrer. Que lui dire ? Elle se contenta de le saluer et oui demander s'il avait faim, puisqu'elle avait les fruits en main. Elle lui envoya la grappe de bananes pour qu'il se serve tandis qu'elle s'asseyait sur uen pierre plate près du petit lac. Là, il reprit la parole. Le regard fuyant de la jolie brune en disait long sur le malaise qu'elle ressentait.
- Oui euh... À ce propos de je... Je suis désolée, je crois qu'on a un peu dérapé. J'étais pas partie dans cette optique...
Elle se sentait stupide et gênée. Mais Ben était père aussi, enfin il l'avait été. Il comprendrait sans doute que l'objectif de Louise n'était pas se s'envoyer en l'air mais belle et bien de retrouver son adolescent disparu. Elle descendit le contenu de sa bouteille d'eau et grignota quelques bouchées de banane.
- T'as pu te reposer ?
Après tout, il en avait grand besoin avec ses cauchemars. Elle aussi avait dormi d'une traite, l'épuisement aidant.
Le petit déjeuner fut rapidement englouti et elle se leva, prête à reprendre la route. Il restait des bananes qu'elle donnerait en cuisine en arrivant au campement. Elle devrait aussi parler à Jenna pour lui dire qu'elle n'avait rien trouvé de de côté de l'île.
- Si tu es prêt, on peut y aller.
Elle ne savait pas quoi dire d'autre, snas la gêne qui l'habitait. Il fallait se concentrer sur le chemin du retour et réfléchir à où chercher pour retrouver Jordan. Elle était encore loin de s'imaginer ce qui les attendrait.
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Ben Levy
• Age personnage : 47 ans printemps
• Orientation sexuelle : Hétéro
• Situation matrimoniale : En face d'apprentissage
• Profession avant le crash : agent de terrain (pour le Mossad)
• Loisirs et passions : Le tir, la moto
• Feat. : Sean Maguire
• Points de survie : 3358
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• Warning : violence, meurtre, traumatismes, guerre
« À quoi t’attendais-tu, espèce d’idiot ! » Après une nuit agréable à bien des égards, Ben était presque certain que le retour à la réalité ne se ferait pas sans heurts. Les rayons dorés du soleil matinal chatouillaient ses paupières alors qu’il se prélassait dans la quiétude de la grotte. Peut-être avait-il inconsciemment cherché à retarder l’inévitable, en savourant quelques minutes supplémentaires de solitude, éloigné du regard scrutateur de Louise. La fraîcheur de l’eau qui caressait sa peau lors de son bain revigorant lui avait offert une brève évasion, mais il savait que l’heure était venue de faire face à la chaleur torride de l’extérieur, ainsi qu’à Louise. Même si son cœur palpitait d’appréhension, Ben rassembla son courage pour s’aventurer hors de la grotte.
Les salutations entre les deux amants, bien que de rigueur, semblaient austères, ce qui tourmentait Ben, incapable de saisir le regard évitant de Louise. Son malaise était indéniable, et malgré ses efforts pour être aimable, le charmant blond ne se laissait pas tromper. Finalement, après avoir partagé un petit-déjeuner en apparence ordinaire, Ben décida d’aborder le sujet de front.
« — Donc, on a dérapé ? » commença-t-il d’une voix chargée de déception, tout en laissant transparaître une pointe de culpabilité. Il serra la mâchoire, avalant difficilement la banane qu’il tenait entre ses mains. Puis, il s’enferma dans le silence, incapable de trouver les mots justes. La réalité lui pesait maintenant. Il se sentait profondément coupable. Conscient de la situation et de la détresse dans laquelle Louise se trouvait depuis la disparition de son fils, il avait l’impression d’avoir profité d’elle égoïstement.
Un tourbillon tumultueux d’émotions le submergeait, l’assaillant sans relâche et nourrissant sa culpabilité grandissante. Chaque instant précieux passé aux côtés de Louise ne faisait qu’amplifier la conscience aiguë de sa vulnérabilité et révéler à quel point il avait été aveugle face à sa douleur intérieure. La nuit précédente, la passion les avait emportés dans un tourbillon enivrant, mais à présent, il remettait en question la moralité de leurs actes. Son désir sincère était de s’excuser, de lui avouer que leur liaison avait été une erreur, mais il semblait incapable de trouver les mots justes. Pire encore, son silence prolongé et son regard obstinément fixé sur le sol ne faisaient qu’aggraver le poids de cet instant, comme si une lourde atmosphère de reproches flottait entre eux.
« — Évitons les banalités », lança-t-il d’un ton morose, avalant rapidement le reste de sa banane et de noix de coco, puis se redressant. « — En effet, nous devrions partir. Cela nous permettra d’atteindre le camp plus rapidement ! » Son attitude était à nouveau distante, presque froide. On aurait pu croire qu’il agissait par orgueil, mais en réalité, c’était sa culpabilité envers Louise qui le rendait insupportable, le faisant apparaître comme le goujat le plus détestable.
Il lui passa devant, délibérément, pour éviter d’être à sa hauteur et d’encourager une conversation maladroite. À présent, il ne désirait plus qu’une seule chose : retrouver le camp et sa solitude.
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