Bienvenue sur THE HAVEN, un FORUM RPG survival sur île déserte. Sur le forum nous jouons avec des AVATARS RéELS les doublons sont interdits. AUCUN MINIMUM DE LIGNES N'EST DEMANDé DANS LES RPS, une connexion sur le forum TOUTES LES QUATRES SEMAINES et vous avez 14 JOURS POUR TERMINER VOTRE FICHE DE PRéSENTATION.L'histoire, les rps et les personnages sont la priorités sur TH (nombreuses intrigues et évenements). Le design du forum est optimisé pour mozilla firefox en version sombre.
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Avis de recherche
✈ RPG DÉRIVÉ LOST - THE 100 Il semblerait qu'il existe une île perdue dans le pacifique dénuée de toute technologie. Tous les aventuriers ayant tenté de la trouver un jour de façon volontaire, ont échoué ou ne sont jamais revenus.Pourtant ce havre existe et est peuplé par des natifs depuis des centaines d'années. Ils sont chez eux et refusent les étrangers. Le calme et la tranquillité semblaient être revenus sur ces terres depuis quelques années. Cela n'a pas toujours été le cas, car bien que cette île soit introuvable et impénétrable, il faut croire que la déesse Mùa s'amuse, telle une sirène, a attirer des inconnus vers ses falaises. Il y'a presqu'un an, un avion s'y est écrasé.Des centaines de survivants ont foulé le sable fin de l'île et se retrouvent aujourd'hui à devoir survivre parmi des autochtones peu accueillants. Un traité de paix semble pourtant avoir été accordé par Phénix, la cheffe des natifs, afin que survivants et indigènes puissent vivre ensemble. Mais sur cette île, il semblerait que rien ne se passe réellement comme prévu.Alors arriverez-vous à survivre, vous aussi ? lire l'ancien contexte
Période de jeu ; JOUR 365 Le climat tropical de l'île permet aux passagers du vol 815 de survivre loin du froid de l'hiver. Les températures oscillent entre 24° et 29°. Les pluies se calment et la chaleur du jour peut-être dure. Le climat reste régulièrement humide mais frais la nuit.
Nouveautés
17.03.24 → nouveau design signé SL-27, reprise du forum par Louise Bennett temporairement
❝ 365ème jour après le crash ❞Trois mois s'étaient écoulés depuis la libération des étrangers qui retrouvèrent leur campement de la plage. Néanmoins et malgré l'accord passé entre Phénix et feue Jenna, des tensions continuaient à perdurer au sein des deux clans, de façon insidieuse. Certains Mùakrus n'appréciaient pas cette présence des Skaïkrus aussi loin, sans réelle surveillance. Ils étaient méfiants et cela se comprenait de par leur Histoire. De leur côté, les survivants de la plage, pour beaucoup, gardaient rancœur sur le traitement infligés aux prisonniers pendant plusieurs semaines, et surtout la mort de Jenna qui avait, depuis le début, toujours été très appréciée. Ainsi, de part et d'autre, l'entente était parfois délicate, même si ce n'était pas la majorité des effectifs qui était réfractaire, dans un camp comme dans l'autre.Et il y avait les phénomènes naturels. L'éruption du volcan avait sérieusement entamé les récoltes des Mùakrus et la famine commençait gentiment à s'installer. Le troc avec les Skaïkrus ne suffisait plus, et les réfractaires à la paix chez les survivants en profitaient un peu (voire trop). Les tensions chez ceux qui s'aventuraient à faire du troc commençaient à devenir de plus en plus palpable, et si jusqu'à présent, Phénix n'était pas réellement au courant, cela finirait bientôt à parvenir jusqu'à ses oreilles.Voilà qu'un nouveau tremblement de terre se fit sentir et de la fumée sortir de nouveau du cratère. Une nouvelle éruption est-elle en marche ?Des alliances pour la survie vont-elles se faire ? Ou au contraire un chacun pour soi va-t-il diviser davantage les clans ? en lire +
Plus le temps passait, et plus le danois tentait d'aider à sa manière, sans être forcé de lancer des discussion à tout bout de champs, sans être forcé de sociabiliser, et surtout sans être dans l'obligation de parler de lui, de son passé, de son histoire et de ce qu'il faisait avant le crash. Cela ne lui semblait pas d'une très grande utilité sur cette île. Mais encore une fois, peut-être se trompait-il. Il passait son temps comme un reclus de la société, sauf que c'était amplement désiré de sa part, et il observait juste ce qu'il s'y passait, sans déranger quiconque, sans traîner dans les pattes des personnes s'activant au bien être de la communauté. Cela ne l'empêchait guère de constater un fait : certaines personnes se reposaient un peu trop sur les épaules des autres, au point où ces derniers commençaient à se sentir fatigués et las de tout ceci. Même s'ils tenaient bons, aucune personne n'était dans la capacité de résister indéfiniment. Tôt ou tard, ils finiraient par imploser et perdre pied, et Jorgen n'était pas trop certain que ça serait une excellente chose, pas pour le groupe.
Et lui dans tout ceci ? Il ne pouvait que tenter de leur apporter une oreille attentive, ni plus, ni moins, sans annoncer qu'il fût jadis un psychologue. Il ne voulait pas que les naufragés le sachent. Bien évidemment, certaines rares personnes le savaient ou l'avaient juste deviné, mais il préférait tout de même que ça reste secret pour l'instant. Et pour cause, si ça se savait, alors tout le monde viendrait raconter ses tourments, ses problèmes, leur désespoir, leur tristesse, et ça serait bien trop d'un seul coup. Le danois n'était qu'un simple homme, s'il devait emmagasiner tous les tourments des naufragés, leur crainte et tant d'autres, alors ça serait lui qui finirait par imploser, et personne ne serait forcément en mesure de l'aider. C'était une chose bien complexe que de sonder l'esprit de quelqu'un, et davantage encore quand il s'agissait du danois, qui restait le plus clair de son temps impassible. Non, mieux valait-il qu'il aide, si cela lui était possible, d'une manière qui semblait lui allait pour le mieux.
Quoi qu'il en soit, à l'heure actuelle, ce n'était pas ça le problème. Le problème était bel et bien la fatigue de ceux que l'on nommait les indispensables. Il aurait fallu, peut-être, un juste milieu, mais qu'en savait-il réellement lui ? Ce n'était pas de son ressort, et pourtant il ne pouvait pas nier le fait d'avoir observer chez certaines personnes cet épuisement qui commençait à être bien trop présent, et pire encore lorsque énormément de personnes comptaient un peu trop sur eux. Par conséquent, Jorgen voulait juste en faire part à un meneur, en l'occurrence à une meneuse : Jenna. C'était la seule qui lui venait à l'esprit. Elle en serait sûrement attentive. Il la chercha rapidement du regard, et lorsqu'il la vit au loin, il l'a rejoignit en espérant ne pas la déranger dans un moment où elle devait faire quelque chose.
« Jenna ? Excuse-moi. Je ne te déranges pas ? »
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Sujet: Re: Need to talk [Ft. Jenna] 28.02.23 21:53
Need to talk
Jorgen & Jenna Env. J-170
“Un homme fait ce qu'il a à faire malgré les conséquences sur sa vie, les obstacles, les dangers et la pression ; c'est la base de toute morale humaine.”
Encore un nouveau jour se lève sur cette île devenue bien aménagée les jours passant, malgré la disparition toujours inquiétante de Jordan. Jenna, depuis ce fameux jour, où elle dû ramasser à la petite cuillière, cette femme devenue amie : Louise, est sur tous les fronts pour retrouver le jeune garçon qu'il soit vivant ou mort. Elle se le doit, c'est une promesse qu'elle a clairement formulée à Louise le jour de sa disparition et elle fera tout pour la tenir. Jenna est persévérante, elle n'a jamais abandonné ni baissé les bras. La preuve : elle a réussi à retrouver un homme qui baladait les forces de l'ordre durant trop d'années. Une fois retrouvé, elle est allée au bout de son idée et envie en lui collant une balle dans le corps.
Ce matin, Jenna se préparait une nouvelle fois à chercher Jordan. Une nouvelle préparation, ne menant à rien comme toujours, mais pour donner de l'espoir aux survivants, elle se doit d'être active dans cette mission. L'île était fouillée au peigne fin, mètre carré par mère carré, celle-ci commençait à être entièrement explorée. Le seul endroit où aucun survivant n'a pu aller, c'est plus loin dans la zone hostile, là où les crânes et symboles terrifiants ont persuadé les survivants de faire demi-tour.
Jenna pensait de plus en plus à monter un groupe de volontaire pour pousser les recherches plus loin sur l'île. Une idée qu'elle ne manquera pas de partager avec ses coéquipiers.
Elle était dans son abris, entrain de préparer son sac d'expédition quand elle entendis une voix. Elle se releva alors, se retourna alors et dégagea la bâche qui masquait de moitié le visage de son interlocuteur. C'était Jorgen, un homme très discret, mystérieux et très reculé. Il ne fait pas parler de lui, n'est pas actif dans la vie du campement à proprement parlé, mais il ne pose aucun soucis sur l'île.
- Oui Jorgen, dit-moi ! répondit alors Jenna de façon posée et toujours avec petit ton linéaire paressant parfois froid.